À chaque semaine, la classe retourne dans la forêt pour aller lire une lettre de confidences à son arbre. Le temps passe, l’hiver aussi, et le lien se solidifie entre GaÑ—a et sa nouvelle amie.
Mais par un froid matin gris de printemps, quelle ne fût pas la stupeur de certains élèves de constater, lors de leur visite hebdomadaire, que certains des arbres avaient été coupés pour laisser la place à un développement résidentiel. GaÑ—a n’était plus… laissant la fillette en larme, ayant brusquement perdu sa confidente, son amie. Cette fillette, c’était moi.
Andréanne Larouche, membre du comité Vert un arbre.
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